Seigneur, je t'en prie, délivre-moi !
- Benoit Hamel
- 7 août 2024
- 26 min de lecture
Dernière mise à jour : 24 mai
( Les mots surlignés en italique sont des liens Internet. )
« Seigneur, je t'en prie, délivre-moi ! » Voici le Blog partie 2, et le lien vers le blog partie 1
Lucifer a voulu juger Dieu.
Satan était autrefois un ange de lumière, mais il s'est retourné contre Dieu, son Créateur, et a voulu lui ressembler. Les pratiques du royaume des ténèbres de Satan ne sont pas nouvelles. Ses efforts sont les mêmes à travers les âges pour concurrencer le royaume de Dieu. Il offre une alternative à ce que Dieu fait par la puissance de son Saint-Esprit. Par exemple, le diable soulage tous les corps qu'il guérit, mais il veut votre mort. Il y a un autre mal caché pour l'instant et qui émergera dans votre futur proche.
Je voyais Satan tomber du ciel comme un éclair. (Luc 10.18.)
Lien : Apparition à Maria Valtorta:
"Le mal est une force qui est née d'elle même, spontanée comme certains maux qui s'attaquent aux corps les plus sains. Lucifer était un ange, le plus beau des anges. Esprit parfait inférieur à Dieu seulement. Et pourtant dans son être de lumière naquit une vapeur d'orgueil qu'il ne dissipa pas, mais au contraire il la condensa en la couvant. De cette incubation est né le Mal, il existait avant que l'homme existât. Dieu avait précipité hors du Paradis le maudit qui avait couvé le Mal qui avait souillé le Paradis. Mais il est resté l'éternel incubateur du Mal et, ne pouvant plus souiller le Paradis, il a souillé la terre. »

"Le démon en personne, sans camouflages d'aucune sorte. C'est un personnage de grande taille, mince, fumeux, au front bas et étroit, visage pointu, aux yeux renfoncés, au regard tellement méchant, ironique, faux que pour un peu j'aurais appelé au secours… il m'est apparu, lui. Noir sur noir et pourtant j'ai vu tous les détails de son corps nu, affreux, non par l'effet d'une difformité, mais par un je ne sais quoi de féroce, d'horrible, de serpentin qui se dégageait de tous ses membres. Je n'ai vu ni cornes, ni queue, ni pieds fourchus, ni autres détails sous lesquels on le représente habituellement. Mais toute sa monstruosité était dans son expression. Pour exprimer ce qu'il était, je devrais dire : Fausseté, Ironie, Férocité, Haine, Embuscade. C'était ce qu'exprimait son expression rusée et méchante. Il se moquait de moi et m'insultait, mais n'osait approcher davantage. Il était là, cloué près de l'entrée. Il est resté, l'espace de dix bonnes minutes, et puis il s'en est allé."
Il est possible d’expliquer comment l’archange qui était un esprit bienveillant et saint a pu devenir l’Esprit du Mal. Il n’était cependant pas saint au point d’être tout amour. Or c’est la mesure de l’amour que chacun porte en soi qui donne la mesure de sa perfection et de son aversion pour toute corruption. Quand l’amour est total, plus rien ne peut venir corrompre. La molécule qui n’aime pas est une brèche facile pour que s’y infiltrent des éléments qui ne sont pas amour. Ils forcent [le passage], l’élargissent, envahissent et submergent les bons éléments, jusqu’à les exterminer.
Lucifer avait une mesure d’amour incomplète. L’orgueil de soi prenait de la place en lui, une place dans laquelle l’amour ne pouvait exister. Voilà la brèche par laquelle sa dépravation pénétra, destructrice. À cause d’elle, il ne put comprendre ni accepter le Christ-Amour; synthèse de l’Amour infini, unique et trine. Et le fait que, de nos jours, se répande l’hérésie qui nie l’humanité divine de la seconde Personne pour faire de lui un simple homme bon et sage, s’explique facilement grâce à cette clé : le manque d’amour dans le cœur humain, l’incapacité à aimer, la pauvreté de la possession d’amour.
''Lucifer a voulu juger Dieu dans une de ses pensées et l'a estimée erronée et il a voulu se substituer à Dieu en se croyant plus juste que Lui.''

Il suggère : "Voulez-vous connaître l'avenir ou avoir une compréhension de ce que les autres ne peuvent pas comprendre ?" Il peut suggérer des remèdes qui sont au-delà de la science. Le but de Satan est de saper et finalement de détruire la foi en Dieu. Ainsi, Satan emprisonne ceux qui ne sont pas sur leurs gardes dans un royaume de peur de lui et de ses esprits. Cet être est, comme un instrument occulte de ruses et de tromperies, une puissante machine qui fait agir les hommes, les déséquilibre et les jette dans l'erreur et la confusion. Il vit caché. C'est comme s'il n'y avait que des yeux qui épient le monde, qu'une bouche qui prononce des mots vertigineux qui séduisent les esprits humains, les faisant se précipiter vers leur perte. Dieu s’est défini comme « Je suis celui qui suis » et le Diable comme « Je suis celui qui ne suis pas », n’ayez peur que de celui qui prétend qu’il n’existe pas et qui, avec plus de malveillance que jamais, vous attire à la mort.

Pourquoi Lucifer, Satan et Belzébuth sont-ils le même ? Cette triade est la peine éternelle pour avoir voulu être l'égal de Dieu.
Déguisé en ange de lumière (2 Co 11, 14), avec toute la horde des esprits mauvais, il parcourt et envahit la terre dans les grandes profondeurs, afin d'effacer le nom de Dieu et de son Christ, et de voler, tuer et perdre de la mort éternelle les âmes destinées à la couronne de la gloire éternelle. Le poison de sa méchanceté, comme un fleuve détestable, le dragon maléfique le déverse dans les hommes à l'esprit dépravé et au cœur corrompu ; l'esprit du mensonge, de l'impiété et du blasphème ; et le souffle mortel de la luxure et de tous les vices et iniquités.
Nous nous sommes éloignés de la maison du Père. Le Malin a inspiré ce projet pervers à l'homme, qui l'a mis en pratique avec une obstination qui frise le blasphème. Mais aujourd'hui, ce pauvre monde, qui s'est éloigné de Dieu et a porté son péché à son zénith, nous accable et nous écrase. Nous n'avons pas le courage de nous présenter devant Dieu : nous l'avons délaissé avec tant d'ingratitude, nous avons méprisé son amour, nous avons refusé sa miséricorde.

C'est pourquoi, reconnaissant que nous avons péché contre le ciel et la terre, nous avons recours aujourd'hui à toi, ô notre très tendre Mère et Avocate. Nous prenons la ferme résolution de fuir le péché et de chercher à nouveau, dans la prière et la pénitence, le chemin de conversion qui mène à Dieu. Délivre-nous, Toi qui es la plus sûre espérance des chrétiens. Préserve-nous des maux qui nous menacent, détourne la colère divine de nos foyers, de notre pays, du monde entier. Nous nous confions en tout et pour tout à votre Cœur Immaculé. C'est dans ce Cœur que nous voulons nous réfugier dans les heures difficiles de l'expiation, qui marqueront sans doute l'heure de la grande purification. Nous sommes certains du triomphe définitif de votre Divin Fils. Que sa Croix soit l'arme de notre lutte, l'assurance de notre victoire et la couronne de notre éternelle béatitude.
Une simple confiance en Dieu apporte la paix face à l'inconnu et nous donne une confiance totale dans la puissance du Christ. ''La souffrance n'attire pas sa compassion. L'effusion de sang et la mort sont des outils qu'il utilise pour arriver à ses fins. Il est venu "pour voler, tuer et détruire" (Jean 10:10).
''La destinée éternelle de Satan est déjà décidée. Une place de feu éternel a été préparée pour lui et ses anges''. (Matthieu 25:41).
Il n'y a pas de vérité en lui : "C'est un menteur et le père du mensonge" (Jean 8:44).
Les démons ne nous obéissent pas.
Une étoile satanique, sombre et lugubre, gisait dans mon imagination. Quand je regardais le reflet du visage, mes yeux noirs se pétrifiaient dans une traînée de fumée noire. Une fumée effrayante, constante, sans évaporation, comme le feu éternel de l'enfer. Tout mon être était chargé d'une incroyable haine spirituelle. L'amour, c'est pour le diable ! La tromperie, c'est la confiance ! Le péché dans la sincérité ! C'est de la duplicité, de la haine et de la malhonnêteté.
Les démons ne nous obéissent pas, ils nous condescendent momentanément. Le souvenir des visages que je connaissais était un souvenir de pure haine et de jalousie infernale. Au loin, un cri d'enfant et spirituellement l'esprit n'entend plus la joie, mais le cri du péché originel. À un certain moment, c'est ainsi que l'esprit voit les circonstances, vous sentez l'enfer sous vos pieds, puis soudain, comme une déchirure, l'ange démoniaque se déplace en vous d'un côté à l'autre comme une bête et vous sentez qu'il veut vous écarter comme un épouvantail.

Répercussions psychiques et spirituelles :
Des contacts, même occasionnels, avec les guérisseurs, voyants et autres médiums peuvent avoir des répercussions, parfois sérieuses, dans certaines vies, notamment des difficultés et des troubles, le plus souvent d’ordre psychique. Mais également des problèmes spirituels, au niveau de la prière ou de la lecture de la Parole de Dieu, pour ne citer que ces exemples.
Problèmes de santé :
Le Père Francesco Bamonte cite une série de troubles physiques et psychiatriques qui perturbent la vie de ses adeptes ou bien de ses victimes. Il mentionne les douleurs d’estomac, les vomissements, l’inappétence, les crises d’épilepsie, l’anxiété et la dépression.
Risques spirituels :
D’un point de vue spirituel, une énergie neutre n’existe pas. Soit elle est de Dieu et dans ce cas elle doit obéir aux principes bibliques, soit elle est occulte.
Dangers de l’occultisme selon la Bible :
La Bible révèle la façon de vaincre les forces du mal. Des millions de gens dans notre monde actuel expérimentent l’occultisme, le pratiquent et en deviennent même esclaves.
" Soyez sobres, soyez vigilants : votre adversaire, le démon, comme un lion qui rugit va et vient à la recherche de sa proie." (Première lettre de St Pierre, chap. 1, verset 13)

Un jour, j'ai regardé le ciel et un énorme visage démoniaque est apparu dans le nuage. Mon frère Silvin Hamel a eu la même expérience, et pour lui les manifestations ont commencé lorsqu'il est venu vivre à la maison pendant un certain temps, et c'est alors qu'il a vu la même figure satanique. Nous avons également vu des âmes damnées, des phénomènes externes et internes. Les reflets silencieux commencent à crier, et les ombres vivent leur propre vie, se dirigeant vers le lent oubli que Dieu leur a réservé. Souvent, dans une ouverture symbolique, le visage du diable avec sa langue tourbillonnante prête à vous engloutir tout entier de l'autre côté, en enfer.
Dans l'obscurité de cette ouverture, le visage déformé par la malice. Sa langue, telle une spirale affamée, tourbillonne, prête à engloutir quiconque s'aventure de l'autre côté. L'enfer attend, avide de sa proie, et le temps lui-même se tord dans cette danse sinistre. Mes yeux se sont détournés de cette vision, tant son regard est dur et sa haine pour nous, l'œil de Satan est un double poignard qui vous transperce et vous brûle. Merci, Mère Marie, de veiller sur moi avec votre protection maternelle, Reine de Cœur. C'est un supplice en enfer d'être en présence constante de Satan.
"Revêtez-vous de l'armure de Dieu, afin de pouvoir résister aux manœuvres du diable". (Lettre de Saint Paul aux Ephésiens, chap. 6, v. 11)

"Si tu pouvais les voir physiquement avec tes yeux, ils obscurciraient le soleil". ( Saint Padre Pio.)
Lorsque Satan m'a mystiquement possédé, concédant momentanément mon esprit à ces entités qui cherchaient à monopoliser mes pensées, à m'isoler et à tenter de m'asservir. Mon esprit en proie à l'orgueil qui fait naître la volonté de puissance, je marchais comme une traînée de fumée tout droit sortie de l'abîme. Je voyais le monde sans les cieux, aveuglé par les ténèbres, mon corps était une coquille vide dans le vide assourdissant du dernier coucher de soleil. Inutile de bouger un seul os de prière, puisque la lumière de Dieu n'est plus en nous, notre mort est encore une vie. Face à mes pas mécaniques qui ne le chassent pas de mon cœur, traversant la vie avec lui comme une porte qui ne s'ouvre que dans un sens. Il est là, il est mauvais, il boit mon sang avec avidité, lui qui rend tous les êtres bestiaux, tue les purs et les innocents. Je l'ai souhaité loin, une ombre dans mon cœur, il fait que mes désirs se terminent en larmes. Je le déteste, je n'en veux pas, mais dans cette folie il m'entraîne malgré moi.

''Et j'ai vu que la sagesse a l'avantage sur la folie, comme la lumière a l'avantage sur les ténèbres.'' ( Ecclésiaste 2, 13 ).
Dans les jours qui ont suivi, lorsque j'ai ouvert les yeux après une nuit sombre et un soleil terne au lever du jour, j'ai vu les visions défiler. Une ombre sombre et maléfique entourait le corps du monde. Un feu derrière les yeux, des pensées sombres qui basculent, un esprit aveugle, une peur mortelle d'écouter le corps enchaîné à travers les murs brisés, ce cri d'un esprit désemparé. Ils font naître des passions désordonnées, ils provoquent la colère et attisent les flammes de la jalousie. La tentation et la chaleur comme un tambour dans mes veines. Plusieurs matins de suite, j'ai entendu le diable rugir comme un animal sauvage.
L'amour, c'est pour le diable ! La tromperie, c'est la confiance ! Le péché dans la sincérité ! C'est de la duplicité, de la haine et de la malhonnêteté.

En rejetant tous les sages conseils de l'esprit, l'ange stagnant et déchu, avec un mépris infini, habite en nous, sous le règne de la haine, de la tempête de feu, là où il n'y a plus de prières. Quelque chose se défait de ses écailles, crie la transcendance perdue de Dieu dans la chaleur de la lumière, sans craindre le déluge ou le sang du printemps qui vient. Je me regarde dans le reflet d'une fenêtre, un sourire mauvais se dessine sur mon visage aux yeux de scorpion, c'est lui, c'est Satan ! L'âme même mise en pièces, ce n'est pas grand-chose quand il déchire continuellement votre âme, alors qu'il semble prendre la vie.
Puis, sans camouflage d'aucune sorte, tout le corps du diable se dessinait glacé, hideux, noir sur noir contre les reflets des fenêtres. A d'autres moments, les locutions intérieures de Satan apparaissaient avec tous les détails de sa tête horrifiante. Une bête de l'enfer se manifestait, et sa seule apparition me laissait terrassé.
Le rebelle est une véritable horreur cosmique, il nous détruit par sa taille, par sa violence il est la négation de tout ce qui est, et par l'absurdité de sa haine il nous empêche de trouver un sens. Le sentiment qu'il suscite en nous est celui de l'impuissance et du néant.
Il va de soi que le cœur arme la main. La volonté s’exprime à travers tout le corps : l’œil se plisse, la bouche ricane devant le malheur des autres, et le mal prend toute la personne. Oui, on peut devenir un cosaque du démon. On peut être coopérateur actif du mal en semant la mort, le mensonge, la division. Quant à la question de la possession, une personne qui hébergerait une telle violence donnerait abri à une personne démoniaque en elle qui aurait pris toute sa liberté. On peut aliéner sa liberté, aveuglée et enténébrée à tel point qu’on devient satanique. Certains dictateurs ont détruit des peuples pour satisfaire leur appétit de pouvoir.
Le démon est un charmeur, comme certaines personnes qui vous flattent et vous engluent de compliments. Il affiche un beau sourire de façade, serre la main, tout le monde connaît son nom, et il vous propose toujours le meilleur. Personne ne devient mauvais pour le mal en soi, on choisit toujours le mal sous couvert du bien : « Bois encore un verre d’alcool, cela te réchauffera. Va t’amuser avec ta voisine, de toute façon ta femme t’oublie. » Il y a toujours une bonne raison qui justifie un acte mauvais. Le démon paraît sympathique, mais il n’a pas de cœur qui bat, ni aucune humanité. C’est un être qui fait ce qu’il veut à n’importe quel prix. Il est capable de tout détruire. La possession n’est pas simplement un événement qui vous tombe dessus, c’est un cheminement qui s’accomplit à mesure qu’on laisse son cœur dans l’obscurité et dans le mensonge. Il faut donc purifier son cœur.
"A la menace de ta voix, les eaux ont passé, les montagnes se ruèrent dans les vallées. Tu leur as fixé une limite à ne pas franchir. Qu'elle ne recouvre plus jamais la terre." Psaume 104
QUELS SONT LES DIFFÉRENTS TYPES DE POSSESSION ?
On peut classifier les cas de possession en quatre groupes, suivant deux critères : le consentement de la personne et son état de grâce. La plupart des cas de possession proviennent de cérémonies occultes : spiritisme et rituels sataniques.

☑️- 1ER CAS : LA VICTIME EST EN ÉTAT DE GRÂCE ET CONSENT À LA POSSESSION.
C’est un cas assez rare, mais qui est rapporté par certains exorcistes. Il arrive que Dieu donne à certaines âmes la possibilité de souffrir jusque dans leur corps la présence d’un démon pour pouvoir affermir leur désir d’aimer Dieu et de renoncer au péché. On connaît le cas, au XIXème siècle, du Père Surin qui fut possédé par un démon alors même qu’il réalisait un exorcisme ; ses mémoires, en ce sens, ont été très précieuses pour montrer que le démon n’a en fait aucune influence directe sur la volonté de sa victime. Il ne fait que susciter des tentations... Mais il ne faut pas confondre ce cas avec celui des âmes qui s’offrent à Dieu comme « victime d’oblation » pour le salut des âmes (Ste Thérèse de Lisieux, Marthe Robin,...). Il peut aussi arriver dans certains cas que le démon s’en prenne à des personnes avec acharnement à cause du bien qu’ils font au monde : Le saint curé d’Ars et le Padre Pio avaient l’habitude de se battre « physiquement » contre le démon durant des nuits entières. Et il n’était pas rare qu’ils apparaissent le matin tout couverts de contusions... et que dans la journée un grand pécheur vienne se confesser.
☑️- 2ÈME CAS : LA VICTIME EST EN ÉTAT DE GRÂCE , MAIS NE CONSENT PAS À LA POSSESSION .
Ce cas, que l’on trouve dans l’Évangile (le jeune homme possédé depuis l’enfance Mt 17.14-21), est peut-être plus fréquent qu’on ne le pense. Il est difficile à comprendre car il nous semble, à première vue, assez injuste... « Qu’a donc fait cette personne de mal pour mériter une telle souffrance ? ». La foi nous apprend cependant que Dieu n’est pas la cause du mal et qu’il n’accepte un mal que pour en faire sortir un plus grand bien. On a vu en effet des familles entières revenir à la foi et aux sacrements grâce à ce genre d’épreuve. Ce cas se produit rarement, pour ne pas dire jamais, dans les personnes qui ont une profonde vie spirituelle et sacramentelle. Certains exorcistes indiquent que cela peut se passer quand le rituel du baptême a été tronqué du cérémonial d’exorcisme, par négligence ou présomption.
☑️- 3ÈME CAS : LA VICTIME N’EST PAS EN ÉTAT DE GRÂCE, MAIS N’EST PAS POUR AUTANT CONSENTANTE À LA POSSESSION.
Il s’agit en fait d’un châtiment de Dieu dû à un enracinement profond dans le péché. Dieu « permet » cette possession à cause de l’endurcissement du cœur de l’homme. Thyrée (De daemoniacis, I pars, ch. 30, n° 9-23) signale principalement les désordres d’infidélité, d’apostasie, d’abus de l’Eucharistie, de blasphème, d’orgueil, les excès de luxure, de paresse, la persécution contre les serviteurs de Dieu, le manque de respect contre les parents, les violences de la colère, le mépris de Dieu et des choses saintes... Il arrive que ces personnes aient eu une certaine vie spirituelle. Mais à force de pécher, de ne pas pratiquer leur foi, l’eau chaude est devenue tiède, puis froide... puis a littéralement gelé. Alors le démon peut très facilement prendre « les commandes » de cette âme, comme il le fit avec le malheureux Judas (Jn 13.27). Dans ce cas, le démon conduit généralement sa victime au désespoir en la forçant à commettre des péchés très graves. La victime reçoit une image tant détestable d’elle-même qu’elle ne peut plus se supporter. Elle tombe dans la schizophrénie et la dépression. Cela s’achève souvent - c’est la victoire du démon - par un suicide. C’est aussi dans cette catégorie que l’on peut classer ceux qui, non baptisés, n’ont jamais eu accès à la vie de grâce.
☑️- 4ÈME CAS : LA VICTIME N’EST PAS EN ÉTAT DE GRÂCE ET EST PLEINEMENT CONSENTANTE À LA POSSESSION .
Ce cas provient d’un « pacte » établi avec Satan. Dans ce cas, le possédé devient complice du démon et reçoit généralement des « dons obscurs » qui lui permettent de multiplier ses forces pour répandre le mal dans le monde. Il y a alors une sorte « d’inversion » de l’ordre de la grâce : le possédé reçoit des pouvoirs et une protection particulière tant que ces derniers peuvent lui être utiles. Cependant, il ne faut pas croire que le démon devienne l’« ami » de celui qui pactise avec lui, car le diable n’a pas d’ami, il n’a que des victimes. Ceux qui se prêtent à ce triste jeu peuvent avoir un instant l’impression d’avoir gagné l’amitié de Satan. Qu’ils ne se fassent pas d’illusion : le diable les méprise autant que tous les êtres humains, race largement inférieure à sa nature angélique et pourtant préférée du Créateur.
Nous ne devons pas être naïfs.
C'est le diable qui s'adresse à la petite personne dans sa petite chambre et qui lui dit : "Je suis toujours là pour toi". Dans ce contexte, ce n'était pas une bonne chose. Une fois au lit, la lumière éteinte, alors que je me laissais tomber dans la froide lumière des étoiles, quelque chose est entré dans la chambre, ce n'était pas gênant ou offensant, mais c'était lourd.
Le prince des démons savait que son pouvoir flattait mon esprit, d'avoir le serpent pour père, de satisfaire ses désirs. Il pouvait me sauver si seulement je le servais, ne jamais marcher seul avec la mort, un pacte avec Satan. Le tentateur, qui se fait appeler ange de lumière, est l'éclat et la lumière dans les ténèbres sans lesquels je ne peux pas voir. Pourquoi avoir comme Dieu le père du mensonge pour avoir de l'argent, de la popularité, des femmes et tous les excès matériels que la terre représente. Au fond, après avoir vécu tous ces phénomènes surnaturels avec le mauvais ange, le seul moyen de me libérer du mal, c'est Jésus.

Les ténèbres surgissent lorsque nous cherchons la vérité ailleurs que dans la Parole de Dieu. Malheureusement, comme le dit Isaïe, les hommes qui n'ont pas de lumière errent dans les ténèbres, à tel point qu'ils se mettent souvent en colère contre Dieu et refusent de s'approcher de lui. C'est pourquoi Satan est si efficace pour se déguiser en ange de lumière : cela lui permet d'inverser les rôles, de nous donner l'illusion que c'est Dieu qui nous ment, qui est la source des ténèbres, afin que, dans notre détresse, nous nous retournions contre le seul qui puisse nous sauver.
Il voudrait que nous implorions son règne, car dans la mort il est tout, et notre réponse aux destins, car il est le maître de toutes les clés. Livrez-vous maintenant à ces messagers qui incarnent sa révélation, pour satisfaire son désir de vous voir tous périr. Ils seront sept fois, sept fois pires qu'eux-mêmes, car ils sont de ses légions et ont tout pouvoir.
Penchés sur l’abîme, dont ils ont pu saisir l’escarpement et sonder la nuit vertigineuse, peut-être n’ont-ils pas vu sans surprise s’épanouir, sur les bords et jusque dans la ravine qui mène au gouffre, certaines fleurs d’une beauté sauvage et fatale, d’un capiteux et troublant parfum.
Ignorent-ils que le mal a sa poésie ? Du mystère d’abomination même se dégage un idéal fantastique, attrayant et funeste, où plusieurs se sont laissé séduire de tout temps. Que les curieux y prennent garde ! C’est là le grand péril des excursions excentriques, dans les mondes interdits aux caprices profanes. Qui s’aventure sans guide sur la piste des émotions inédites foule déjà le sentier de sa perdition prochaine : tout, autour de lui, conspire sa ruine et la présage. Sur la porte qu’il va franchir, l’on va dans la cité dolente ; ou est l’éternelle douleur pour se mêler aux damnés.
Déjà l’entonnoir béant a reçu la frêle embarcation, qui vole, emportée comme une plume au pivot de la paroi interne ; mais il n’a rien vu, et le voici disparaître au fond du vortex, l’esprit toujours en extase et les yeux perdus dans l’azur de son rêve ! Les initiés savent pourquoi l’inconscience est l’élément propre de Satan le point central où fatalement l’inflexible, logique de l'invocation ramène ses fidèles directs ou indirects, ses sectateurs de faits ou d’intention.

Que si l’on nous invitait à préciser par quels symptômes se manifeste, chez les adeptes conscients ou non ce processus vers l’inconscience, nous répondions qu’il se décèle d’abord par l’abolition des facultés logiques ; par le prosélytisme des philosophies négatives du libre arbitre et de l’immortalité ; enfin, après la mort, par la rétrogression vers les formes les plus infimes de la nature élémentaire.
Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, car il n'y a pas de vérité en lui. Quand il dit un mensonge, il parle selon son propre cœur, car il est menteur et père du mensonge. La prochaine fois que vous chercherez une prière pour montrer votre loyauté inébranlable envers le Seigneur Dieu créateur du ciel et de la terre, que nulle chose ne peut borner ni limiter et votre confiance en sa providence, dites simplement ces mots : "Je servirai."

«L'Éternel te gardera de tout mal, Il gardera ton âme.» Psaume 121:7
« S’il vous plaît, ne faisons pas des affaires avec le démon » et prenons au sérieux les dangers qui dérivent de sa présence dans le monde. C’est ce qu’a recommandé le Pape François dans l’homélie du 11 octobre. « La présence du démon est dans la première page de la Bible et la Bible se termine aussi avec la présence du démon, avec la victoire de Dieu sur le démon ». Mais celui-ci, a-t-il averti, revient toujours avec ses tentations. Et c’est nous qui « ne devons pas être naïfs ».
"Oui, il y a longtemps que tu as brisé ton joug, que tu as rompu tes liens. Tu as dit : "Je ne servirai pas ! "(Jérémie 2:20)
« C'est ainsi que tous, petits et grands, riches et pauvres, libres ou esclaves, se laissent marquer du sceau de la bête sur leur main droite ou sur le front. Et personne ne peut plus acheter ou vendre s'il n'est pas marqué du sceau de la bête, ou de son nom ou du chiffre de son nom. Si vous êtes intelligents, cherchez un peu et devinez à partir du chiffre de la bête. Son chiffre est celui d’une personne et ce chiffre est 666". » ( Apocalypse 13, 16-18 )
« Revêtez-vous de l’armure de Dieu afin de pouvoir tenir ferme contre toutes les ruses du diable. Car nous n’avons pas à lutter contre des êtres de chair et de sang, mais contre les Puissances, contre les Autorités, contre les Pouvoirs de ce monde des ténèbres, et contre les esprits du mal dans le monde céleste.
C’est pourquoi, endossez l’armure que Dieu donne afin de pouvoir résister au mauvais jour et tenir jusqu’au bout après avoir fait tout ce qui était possible. Tenez donc ferme : ayez autour de la taille la vérité pour ceinture, et revêtez-vous de la droiture en guise de cuirasse. Ayez pour chaussures à vos pieds la disponibilité à servir l’Évangile de la paix. En toute circonstance, saisissez-vous de la foi comme d’un bouclier avec lequel vous pourrez éteindre toutes les flèches enflammées du diable. Prenez le salut pour casque et l’épée de l’Esprit, c’est-à-dire la Parole de Dieu. » ( Éphésiens 6:11-17 )

L'absence de Dieu était au-delà de tout !
Au début, l'angoisse augmentait, jusqu'à ce que j'aie l'impression que l'âme me quittait, parce que peu à peu, une terrible solitude envahissait non seulement l'être spirituel, mais aussi le corps physique. À ce moment-là, le sentiment de terrible solitude, l'angoisse qui me faisait marcher d'un côté à l'autre parce qu'à chaque instant la solitude était plus grande. Une forte expérience de conscience d'un corps qui ne raisonne pas sur l'éternité pour Dieu, l'âme abandonnée, angoissée, marchant à la recherche d'une consolation mais rien. La solitude, le vide, était plus grand à chaque instant, jusqu'à la panique, l'âme était alors abandonnée sans Dieu !
Après la possession, les manifestations démoniaques ne cessent jamais complètement. Parfois, une figure satanique apparaissait sur le visage des gens, et toute sa monstruosité était dans son expression. Le démon a pris forme sur le mur de ma maison.
Vivre l'enfer sur terre dans le flou du miroir.
Une amie de longue date, Micheline, qui est comme la sœur de notre famille, au cours de sa vie, Dieu lui a montré la place qui lui était réservée en enfer si elle ne changeait pas la direction de sa vie, à cause de son entêtement persistant. Lorsqu'elle en parlait, c'était la première fois de ma vie que mes yeux voyaient l'expression d'un visage horrifié jusqu'à la moelle. Micheline et moi avons vécu une expérience similaire.

Si vous saviez ce qu'est la souffrance, en même temps la volonté est pétrifiée dans le mal ! Nous ne pouvons pas penser comme nous le voulons, ni comment nous le voulons, enchaînés pour toujours à la même place sans bouger en regardant notre vie, mais nous devons exister. Nous devons exister comme nous nous sommes faits nous-mêmes : avec une existence gâchée. Oh, comme nous voulons nous anéantir maintenant, pour échapper à ces tourments ! Même quand nous faisons quelque chose de "bien", ce n'est pas avec de bonnes intentions. Nous buvons la haine comme de l'eau, même entre nous. Et surtout, nous haïssons Dieu dans ce tourment, nous sommes obligés de ne pas l'aimer ! Ici nous ne recevons plus aucune grâce, et même si Dieu nous en offrait une, nous la refuserions cyniquement.

Tous mes nerfs s'étaient contractés lorsque j'ai été privé de mes membres. Je ne pouvais même pas bouger un doigt pour me soulager, ni changer de position, j'avais l'impression que mon corps était aplati et plié en deux et mes yeux semblaient sortir de leurs orbites. Je ressentais une oppression, une angoisse, une affliction si sensible, une douleur si désespérée et si profonde, l'âme même qui se déchirait. Cette nécessité de haïr est une soif qui me consumais… pas un souvenir qui puisse me donner le plus léger soulagement… avec la honte qui nous enveloppe. Dans ce supplice qui devait être sans fin et sans répit après notre mort, ce qui m'a fait le plus souffrir et ce qui est le plus redoutable, c'est ce feu intérieur et ce désespoir de l'âme.

''Fixant le visage de la mort sinistre, la vision hurlante m'assourdit. Ma futilité est inutile devant le miroir, quand le miroir est fait de mon visage, c'est la maison de la mort. Même les anges meurent dans les bras des démons. Cache ton cœur dans tes tripes, mais pour quoi faire ? Quand ils attendent de te déchirer comme un épouvantail. Dans le couloir de la mort, bientôt tous vos secrets seront révélés.''
Après le moment de la gnose, quand j'ai connu le lieu qui m'était destiné enchaîné au même endroit, tout mon corps était pétrifié dans le mal sans bouger. Je sentais et voyais l'enfer dans le flou du miroir, avec tous les beaux souvenirs de ma chère petite famille du Seigneur depuis ma plus tendre enfance. Dieu a toujours été fidèle avec ses bénédictions en notre faveur, toutes les souffrances et les difficultés assumées et traversées, la providence des événements et des circonstances qui semblaient parfois si douloureuses et indéchiffrables. Dans ce lieu de souffrance et de tourments éternels, tout cela est remplacé par la haine, qui est elle-même un tourment, et l'amour n'existe plus - c'est fini. Quelle tristesse de repenser à sa vie et à la façon dont elle a été gâchée par mon orgueil. Après la nuit de ma vie, il y avait le contour de mon corps sur le lit taché d'une substance non lavable, avec une marque de croix de mon scapulaire sur le drap.

Vision de l'enfer par Sainte Thérèse d'Avila.
'' L'entrée me parut semblable à une ruelle très longue et très étroite, ou encore à un four extrêmement bas, obscur et resserré. Le fond était comme une eau fangeuse, très sales, infecte et remplie de reptiles venimeux. A l'extrémité se trouvait une cavité creusée dans une muraille en forme d'alcôve où je me vis placer très à l'étroit. Tout cela était délicieux à la vue, en comparaison de ce que je sentis alors ; car je suis loin d'en avoir fait une description suffisante. Quant à la souffrance que j'endurai dans ce réduit, il me semble impossible d'en donner la moindre idée ; on ne saurait jamais la comprendre. Je sentis dans mon âme un feu dont je suis impuissante à décrire la nature, tandis que mon corps passait par des tourments intolérables. J'avais cependant enduré dans ma vie des souffrances bien cruelles ; et, de l'aveu des médecins, ce sont les plus grandes dont on puisse être affligés ici-bas, car tous mes nerfs s'étaient contractés quand je fus percluse de mes membres. J'avais eu aussi à supporter toutes sortes d'autres maux dont quelques-uns, je l'ai dit, venaient du démon.

Mais tout cela n'est rien en comparaison de ce que je souffris dans ce cachot. De plus, je voyais que ce tourment devait être sans fin et sans relâche. Et cependant toutes ces souffrances ne sont rien encore auprès de l'agonie de l'âme. Elle éprouve une oppression, une angoisse, une affliction si sensible, une peine si désespérée et si profonde, que je ne saurais l'exprimer. Si je dis que l'on vous arrache continuellement l'âme, c'est peu, car, dans ce cas, c'est un autre qui semble vous ôter la vie. Mais ici, c'est l'âme elle-même qui se met en pièces. Je ne saurais, je l'avoue, donner une idée de ce feu intérieur et de ce désespoir qui s'ajoutent à des tourments et à des douleurs si terribles. Je ne voyais pas qui me les faisait endurer, mais je me sentais, ce semble, brûler et hacher en morceaux. Je le répète, ce qu'il y a de plus affreux, c'est ce feu intérieur et ce désespoir de l'âme.

Dans ce lieu si infect d'où le moindre espoir de consolation est à jamais banni, il est impossible de s'asseoir ou de se coucher ; l'espace manque ; j'y étais enfermée comme dans un trou pratiqué dans la muraille ; les parois elles-mêmes, objet d'horreur pour la vue, vous accablent de tout leur poids ; là tout vous étouffe ; il n'y a point de lumière, mais les ténèbres les plus épaisses. Et cependant, chose que je ne saurais comprendre, malgré ce manque de lumière, on aperçoit tout ce qui peut-être un tourment pour la vue. ~ Il m'a donné depuis, une vision de choses épouvantables et de châtiments infligés à certains vices ; ces tortures me paraissaient beaucoup plus horrible à la vue. Mais, comme je n'en souffrais pas la peine, j'en fus moins effrayée. Dans la vision précédente, au contraire, le Seigneur m'avait fait éprouver véritablement en esprit ces tourments et ces angoisses, comme si mon corps les avait endurés. Je ne sais comment cela se fit, mais je compris bien que c'était une grande grâce et que le Seigneur voulait me faire voir de mes propres yeux l'abîme d'où sa miséricorde m'avait délivrée. Entendre parler de l'enfer ce n'est rien. ~ Aussi, je fus épouvantée. ~ Aussi, chaque fois que je me rappelle ce souvenir au milieu de mes travaux et de mes peines, toutes les souffrances d'ici-bas ne sont plus rien à mes yeux ; il me semble même que, sous un certain rapport, nous nous plaignons sans motif.
Depuis lors, je le répète, tout me paraît facile en comparaison d'un seul instant de ces tortures que j'endurais alors. Je m'étonne même qu'après avoir lu souvent des livres où l'on donne quelque aperçu des peines de l'enfer, je ne les aie point redoutées comme elles le méritent et ne m'en soit pas fait une idée exacte. Où étais-je donc ?
Comment pouvais-je trouver quelque repos dans ce qui m'entraînait à un si terrible séjour ? O mon Dieu, soyez à jamais béni ! ''

L'enfer n'a pas été créé par Dieu pour les hommes.
"Ensuite il dira à ceux qui seront à sa gauche : Retirez-vous de moi, maudits ; allez dans le feu éternel qui a été préparé pour le diable et pour ses anges" (Matthieu 25:41). Dans Son amour, Dieu ne veut pas que les hommes aillent en enfer mais plutôt qu'ils se repentent :
"Dis-leur : je suis vivant ! dit le Seigneur, l'Éternel, ce que je désire, ce n'est pas que le méchant meure, c'est qu'il change de conduite et qu'il vive. Revenez, revenez de votre mauvaise voie ; et pourquoi mourriez-vous […] ?" (Ézéchiel 33:11).
Si les hommes ne plient pas le genou devant Dieu et n'obéissent pas à Son Évangile, suivant ainsi la voie orgueilleuse du Diable et des démons, ils iront les rejoindre en enfer quand leur jugement sera venu. L'enfer attend tous ceux qui ne se repentent pas.

Je marcherai en présence du Seigneur sur la terre des vivants. Alléluia !
J’aime le Seigneur :
il entend le cri de ma prière ;
il incline vers moi son oreille :
toute ma vie, je l’invoquerai.
J’étais pris dans les filets de la mort, retenu dans les liens de l’abîme,
j’éprouvais la tristesse et l’angoisse ;
j’ai invoqué le nom du Seigneur :
« Seigneur, je t’en prie, délivre-moi ! »
Le Seigneur est justice et pitié,
notre Dieu est tendresse.
Le Seigneur défend les petits :
j’étais faible, il m’a sauvé.
Il a sauvé mon âme de la mort,
gardé mes yeux des larmes et mes pieds du faux pas.
Je marcherai en présence du Seigneur
sur la terre des vivants.
Celui où nous devons décider, pour les ténèbres ou pour la résurrection en Jésus-Christ dont nous avons la victoire à travers les épreuves et les tribulations de la vie. Voici un lien d'une âme damnée qui raconte pourquoi elle est en enfer - approbation de l'Eglise catholique. Dans les papiers d'une jeune fille morte dans un couvent, on a trouvé ce manuscrit. Après avoir été examiné et avoir reçu l'imprimatur, il est conforme à la saine théologie, à l'Évangile.
« Mais que Dieu soit remercié, lui qui nous donne la victoire par notre Seigneur Jésus-Christ ! » (1 Corinthiens 15.57)

😱