
Dieu est mon tout !
Le sourire de Marie est le reflet de la tendresse de Dieu.
Je suis consacré à Marie par le port du scapulaire, pour la participation à tous les biens spirituels, grâce à la miséricorde de Jésus-Christ, par les religieux du Mont Carmel.
Signe d'une relation spéciale avec la Mère de Jésus, que je m'engage à imiter. Avec un engagement au service des autres et à l'imitation de l'Immaculée. Le rituel est maintenant terminé, ce qui me permet d'être associé à la Confraternité de la Bienheureuse Vierge Marie. Je le porte en signe de la protection maternelle de Notre Dame.
Maryam m'enveloppe de son manteau et me protège des forces du mal, un souhait qui remonte au moment de ma conversion en union avec le Christ. À ce moment-là, lors d'une adoration eucharistique, j'ai senti que le Seigneur m'appelait, qu'un trésor était caché là et qu'il était pour moi. Lorsque le Créateur vous appelle et que vous êtes convaincu que c'est le chemin du plus grand bonheur, il n'est pas difficile de tout donner, parce qu'Il vous donne beaucoup plus. Nous devons également prier chaque jour de notre vie, une prière continue à travers le chapelet marial. Prier pour les amis, les parents, les frères et sœurs, et pour les défunts. Dieu, qui est fidèle, ne se lasse pas de nous appeler constamment.
Une fois, lors d'une confession, à la fin de la prière sacramentelle du prêtre, juste avant le signe de croix, la Mère Miséricordieuse est apparue plus belle qu'un lys éclatant de blancheur, et ce fut le plus grand et le plus beau jour de ma vie. J'ai vu la même chose que la vue de l'esprit, mais à l'intérieur, la Rose Mystique est apparue vivante, non translucide et très réelle, sa taille était petite et proportionnée et son visage plutôt rond et si beau qu'il me serait impossible de décrire sa beauté. Nous nous sommes laissés étreindre par son doux regard de Marie de Nazareth, le seul regard véritablement enfantin qui se soit jamais levé sur notre honte et notre malheur. Elle est un lys entre les épines, dont la blancheur nous ravit et dont les racines puissantes détruisent le serpent maudit.
La plus pure vertu couronne son front de fleurs et son regard empêche les larmes de couler pour un cœur plongé dans la tristesse. La Théotokos se tient au centre d'une lumière blanche céleste, vêtue d'un somptueux manteau de soie blanche et d'une longue robe d'un jaune chaud et velouté, dont l'étoffe lourde suggère la richesse de sa provenance. Autour de la Mère de mon cœur, des rayons de lumière monochromes forment un halo d'intensité et de couleur variables. Le Seigneur l'a créée et l'a remplie de son Esprit, et le Saint des Saints l'a élevée au-dessus de toutes les œuvres de ses mains. Notre Dame du Ciel habite au plus haut des cieux, et une colonne de nuée soutient son trône.
Tu es belle, ô ma bien-aimée ! Et ta beauté parfaite n'a jamais été ternie par la tache du péché originel. La Reine des Anges qui m'a fait face avec un sourire angélique, pendant la célébration eucharistique et sur le chemin du retour, si beau que je n'avais jamais rien vu d'aussi beau, son visage respirait une bonté et une tendresse ineffables, mais ce qui a pénétré jusqu'au plus profond de mon âme, c'est le sourire de la Sainte Vierge. Alors toutes mes peines disparurent, et avec une joie sans mélange, ce miracle du sourire de la Vierge se grava dans mon cœur. Je compris qu'elle me protégeait, que j'étais son enfant, et elle me parut encore plus tendre qu'une Mère.
Toi qui es venu sourire au matin de ma vie, reviens et souris encore... Mère... dans le rayonnement de ta gloire suprême, chantant sur tes genoux : Marie, je suis ton enfant ! Son regard est purificateur, son silence édifiant, la caresse réconfortante de son sourire instructive. L'Église naissante est fortifiée par son silence et son sourire, qui parlent plus fort que toutes les paroles, car à travers eux se révèle le visage de la Providence et de la vérité. La beauté de cette vision souriante et silencieuse dépasse la capacité humaine à la décrire.
Le sourire de Marie est une douce étreinte, un rayon de lumière qui caresse nos âmes. Dans ce sourire, nous discernons la tendresse de Dieu, une bienveillance infinie qui enveloppe chacun de nous. Marie, la Mère de Jésus, porte en elle la promesse de l’amour divin. Son sourire est un miroir de cette grâce, une invitation à l’espérance et à la confiance. Quand nos cœurs sont lourds, quand les épreuves nous accablent, nous pouvons lever les yeux vers elle et trouver réconfort.
Dans ce sourire, nous découvrons la beauté de la maternité spirituelle. Marie est la Mère de tous, celle qui nous guide vers son Fils. Elle nous montre le chemin de la foi, de la prière et de l’abandon à la volonté de Dieu. Que le sourire de Marie illumine nos jours, qu’il nous rappelle que nous sommes aimés, protégés et accompagnés. Et que, comme elle, nous puissions refléter cette tendresse divine dans nos vies, envers nos frères et sœurs sur cette terre.
Dieu l'a choisie et prédestinée, l'Alpha et l'Oméga lui a préparé une demeure dans son tabernacle. Quelques jours plus tard, devant le Saint des Saints de l'Oratoire Saint-Joseph, la Mère du Ciel réapparut un bref instant, cette fois avec une salutation de la main droite. La Vierge, d'un bleu transparent comme l'aube qui annonce le lever du soleil, était vêtue d'une robe avec un voile légèrement brodé qui reposait sur son front. Chaque jour, mon esprit doit se tourner vers son cœur, en priant le rosaire. Priez pour nous, pauvres pécheurs, et conduisez-nous à votre divin Fils. Ô miséricordieuse, ô charitable, ô douce Vierge Marie.
Ayons donc un grand amour pour la pureté qui nous rend semblables aux anges et nous unit si intimement à la Cause universelle, et rappelons-nous que nous ne pouvons acquérir cette vertu que par une grande vigilance sur nos sens, et surtout par une tendre dévotion à la Mère de l'Église. Que notre Père céleste vous bénisse, que le Seigneur vous donne sa paix, que Marie fasse fleurir en vous des vertus toujours nouvelles, et qu'elle veille sur vous avec sa protection maternelle et aimante !
'' Mon âme exalte le Seigneur, mon esprit exulte en Dieu, mon Sauveur ! '' (Luc 1:46)